Interrogé par Reuters, un porte-parole de la multinationale a
ajouté que ce placement s'effectuait par le biais d'un
«book-building». Cela signifie que le prix final des actions
dépendra des offres faites par les investisseurs en fonction de
différents niveaux de prix possibles.
Cette opération est connue sous le nom de «book-building», car les
offres des investisseurs intéressés sont reportées dans un grand
livre de compte au fur et à mesure qu'elles sont déposées. Novartis
n'a apporté aucune précision supplémentaire.
Selon le «Guide des actions suisses», Emasan détient 3,8 % du
capital-actions du groupe bâlois et la Fondation de famille Sandoz
est représentée au conseil d'administration de Novartis en la
personne de Pierre Landolt.
Les actions reclassées représentent moins de 1 % de l'ensemble des
titres Novartis. Emasan a précisé que la société ne prévoyait
aucune «sortie» de Novartis.
(sk/sda)